Histoire et gastronomie

La cuisine de Corfou comme on dit, est purement vénitienne.

Corfou a était un port vénitien pour beaucoup des années, appelle « clé » de l’Adriatique, c’ était naturel de navires passantes de « laisser à Corfou beaucoup et apprendre tellement plus ». L’influence de conquérants vénitiennes a été décisive pour la gastronomie Corfiote, qui a initialement introduit aux populations locales des produits inconnues jusqu’à ce temps, produits comme les pommes de terre, les tomates, les haricots, les poivrons, le café et le chocolat et a révèle alors les gustatives « trésors » qui existaient en Europe après la découverte de l’Amérique, comme les épices et le sucre.

La cuisine de Corfou a absorbé des influences étrangères, tout en conservant le caractère méditerranéen en ces plats en les combinant avec huile, légumineuses, légumes, pâtes et poissons. Autres conquérants avaient autres influences mineures.On mentionne brièvement la contribution des Brettons qui ont apporté la bière de gingembre, de kumquat et de patate douce et les Russes qui ont portes l’habitude de friture graisse ou beurre après que qu’ils ne pourraient pas s’habituer à l’huile.

Dans la manière de cuisson en position dominante est le pot et particulièrement répandu est le savouro, qui est un mode de cuisson mais aussi pour maintenir des poissons et des légumes. C’est l’aliment principale des marins, parce qu’il pourrait préserver beaucoup de temps et la consommation les protégeait du scorbut.

Recettes de poissons et fruits de mer sont répandues à Corfou et les plats sont abondants.

Populaire est aussi le « spetsieriko », un mélange d’épices et d’herbes aromatiques, destiné à la fabrication des différentes recettes. Traditionnellement fait par les pharmaciens ainsi que toutes les femme au foyer ou chaque cuisinier a sa propre spetsierika, qui étaient secrètes, et ceux qui faisaient sa nourriture si démarquant. Même aujourd’hui en Corfou le spetsierika font partie de la cuisine quotidienne.

Source: Magna Grecia Mare